11/10/2013

L'automnale de CAP MOTO

Tout d'abord un lien sur le site et les photos du jour prises par Paul, G.O. du club, et des participants à la journée ...
Ce n'est pas parce qu'on ne me voit pas sur les photos que je n'y étais pas.
Henri avait demandé qui serait de la sortie. Didier a répondu qu'il était en Provence, Jacques a dit qu'il n'y avait que 15% de chance qu'il puisse en être et François a évoqué un retour trop récent de voyage et un surcroît de travail ...
Perso, j'attendais de voir la météo. Ce n'est en effet pas la première fois que je paie une inscription à une balade à laquelle je renonce soit par faute de météo exécrable soit par force majeure !
Ici, j'ai préféré jouer la sécurité quitte à payer 2.50 € de plus pour y participer.
Notez que j'ai hésité jusqu'à la dernière ... heure car la veille j'avais passé 6 heures au jardin et j'avais les bras cassés, de la compote de bras. Or la moto est assez exigeante à ce niveau là, sauf à se laisser mener par elle, ce qui n'est pas dans mes habitudes ;-))
Le réveil sonna à 7h15 et je me levai à 7h30 ! Je pris le petit déjeuner, je m'habillai, je descendis au garage, je poussai la Tiger à l'extérieur, j'enfilai tour de cou, blouson, casque et gants : j'étais fin prêt comme on dit ! J'appuiai sur le starter, oui, comme Brigitte Bardot le fit, "il y a un an, un siècle, une éternité" ...
"Tu sais, je n'ai jamais été aussi heureux que ce matin-là" ...
Ouais ben, justement, non !! Alors que j'étais équipé de pied en cap et en péninsule, le starter n'eut pas l'effet escompté. Ma première tentative à ébrouer le trois pattes échoua lamentablement ... J'essayai donc une deuxième fois, en me montrant juste un petit peu plus insistant, même "effet", le trois pattes reste muet, le tigre fait la carpe ! J'y vais une troisième fois, en ouvrant tout grand les gaz et en poussant comme un dératé sur le bouton rouge, au risque de noyer définitivement la carpe et le tigre qui sommeille derrière, ce n'est pas encore la bonne !
Dernière tentative, à la limite du désespoir celle-là, et oh miracle, le tricylindre pétarade un p'tit coup puis soupapes, bielles et pistons s'entendent et commencent à jouer le même morceau, le fameux sifflement/feulement caractéristique du bouilleur anglais. Ouf !! Je ne me serai pas levé et donné toute cette peine pour rien ...

To be continued !

22:03 Écrit par Alberto | Commentaires (2)

Commentaires

C'est vrai que j'avais trop de travail... dans le jardin. Comme toi, j'ai passé une bonne partie de la journée de samedi à tondre et à tailler des haies et arbustes et il fallait nettoyer tout ça le lendemain, c'est-à-dire dimanche. De toute façon, cette balade automnale m'était complètement sortie de la tête.

Écrit par : Francois | 12/10/2013

"When there's a will, there's a way" nous serinait le prof d'anglais en humanités ...
"Go your own way" c'est la devise de la marque Triumph ...
J'ai appliqué ces deux maximes même si ça n'était pas my "own" way mais le way proposé par CP !

Écrit par : Alberto | 12/10/2013

Les commentaires sont fermés.